Pour aller plus loin

Mon parcours, mes compétences, mon expérience.

J’ai commencé par travailler dans les années 90 dans le commerce (ameublement, articles de sports, PLV dans la téléphonie mobile) en parallèle d’avoir été handballeur semi-professionnel,
Les entreprises dans lesquelles j’ai travaillé ne m’ont pas permis de m’y retrouver en termes de valeurs. Le seul et unique objectif était de faire du chiffre d’affaire et de convaincre les clients d’acheter.

Un été, j’étais sur le point de vendre un ensemble de fauteuil et canapé en cuir à une femme divorcée sans beaucoup de moyens dans la vallée de la Bruche. J’avais identifié sa personnalité et les leviers pour la convaincre. Et au moment de signer le contrat, je lui ai proposé de prendre le temps de la réflexion. Elle n’avait pas besoin de ce canapé. Elle en avait envie. J’ai appelé mon patron et j’ai démissionné.

La richesse de l'interculturalité

Il m’a fallu un peu de temps pour réaliser qu’il me fallait mettre en pratique mes valeurs dans mon travail. Je suis parti faire un volontariat européen un an au Danemark pour prendre du recul, apprendre à me connaitre à prendre conscience de ma culture française, de ma double identité alsacienne et corse. J’en ai profité pour jouer au Handball en 2ème division nationale à Skovbakken et accompagner au développement d’une start-up dans les NTIC (Intelligy).  On m’avait proposé de prendre la tête de la joint-venture France de cette société en plein développement.

Mais j’ai refusé, car mon intuition devait m’amener autre part. Et du port d’Aarhus, je suis parti au port de Marseille.

Développer la démocratie

A mon retour en France, je me suis réorienté vers l’intérêt général par une maîtrise en Management Public (Institut de Sciences Politiques d’Aix-En-Provence – Université Aix Marseille III).

Mon parcours associatif militant m’a en parallèle entrainé vers l’Éducation Populaire.
J’ai aujourd’hui une expérience de plus de 15 ans dans le champ de la démocratie, des modes de gouvernance, du développement de l’esprit critique. Mon job était d’accompagner à la liberté, de se débarrasser de ses aliénations. Je suis passé par le secteur associatif, le Ministère en charge de la Jeunesse, de l’Éducation Populaire et de la Vie Associative, le Conseil de l’Europe et j’ai aidé à la création d’une ONG internationale.

Lobbyiste...

J’ai été lobby sur ces questions auprès du gouvernement, de l’Élysée, de l’assemblée nationale, du Sénat, d’une branche professionnelle et du Parlement européen en siégeant dans de nombreuses instances entre 2011 et 2016.
Et en 2016, un burnout m’a conduit à me réinterroger sur ma vie, la vie, la société dans laquelle on vit.

Ma pratique du dialogue social dans une organisation syndicale réformiste était conçue sur la base de la construction d’un rapport de force. C’était trop énergivore. Et ce n’était pas cohérent avec les valeurs de non-violence que je disais porter.

Il était temps pour moi de mettre mon énergie ailleurs, autrement.

Ma transformation...

Les prémisses du burnout m’avaient amené à explorer différents chemins par des formations qualifiantes en communication non violente, empowerment, sophrologie, en méditation de pleine conscience, en Ayurvéda, en Reiki (Usui Shiki Ryoho), en mémoires cellulaires et en autohypnose Eriksoniènne.
J’ai également pu expérimenter sur une dizaine d’années, la fonction d’employeur, par plusieurs associations (association d’éducation populaire, école alternative et crèches parentales).

Et le cabinet Libres est né...

Et en 2020, le Cabinet LIBRES est né ! Il s’est enrichi de mon parcours et participe à l’écosystème de la SCIC Cœurs d’Entreprises (référencé QUALIOPI) pour bénéficier des compétences d’autres formateurs et consultants et pouvoir effectuer des interventions conjointes.
Je m’appuie sur ma formation en management à science politique et sur toutes ces années d’expérience à travailler les questions de risques psychosociaux, de qualité de vie au travail dans les administrations, d’intelligence collective, de dialogue social, de motivation au travail dans le secteur privé, de plaidoyer et stratégie d’influence ou encore de démarche progrès dans les structures de l’ESS.


Autour de ces questions, on touche à la matière humaine, on touche aux émotions, on touche à l’égo au besoin de contrôle. Et pour faire bouger tout cela, pour aligner ses valeurs, ses paroles et ses actes, il faut avoir le courage de sortir de sa zone de confort. Les consciences et les organisations sont prêtes. Le paradigme de l’organisation pyramidale et d’un management autoritaire est en train de disparaitre.

Ma force est de pouvoir, au regard de mon parcours, articuler développement de compétences professionnelles articulées à un travail de développement personnel. Je le mets en pratique depuis plusieurs années et c’est un processus de transformation des Hommes et des organisations très puissant.